Discobole de Myron, une des plus célèbres statues de l’antiquité grecque (musée du Louvre)
Jeux Olympiques Paris 2024 : La France telle qu'elle voudrait être
Une grandiose parade et des lieux exceptionnels
Pour la cérémonie d’ouverture des Jeux, 85 bateaux au total ont transporté sur 6 kilomètres les athlètes des 206 délégations participantes aux épreuves. L’aspect parfois irrévérencieux ou provocateur de la cérémonie d’ouverture est très français pour les étrangers, alors qu’il l’est très peu chez nous. Nombreux sont les pays qui saluent « l’extase collective » soulevée partout dans le monde par la Quinzaine olympique.
Cérémonie d’ouverture
Depuis la cérémonie d’ouverture des JO, le petit Musée Magnin à Dijon a vu ses visites bondir ! Il s’est retrouvé au centre de la frénésie en ligne après qu’une de ses œuvre picturale
« Le Festin des dieux »
réalisé vers 1635-1640 par le peintre néerlandais Jan van Bijlert,
ait pu inspirer de façon actuelle une des scènes de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques. Leslie Weber-Robardet, chargée de communication du musée national de Dijon explique :
«J’ai été alertée sur mon téléphone par des notifications provenant de divers réseaux sociaux et c’est comme cela que j’ai compris qu’une comparaison avait été faite avec ce tableau »
Le Festin des dieux est accroché depuis 1938 dans la même petite salle du musée, jamais le tableau du peintre néerlandais n’avait connu une telle gloire. Source : Libération
Charte des valeurs olympiques
L’Olympisme est une philosophie de vie, exaltant et combinant en un ensemble équilibré les qualités du corps, de la volonté et de l’esprit. Alliant le sport à la culture et à l’éducation, l’Olympisme se veut créateur d’un style de vie fondé sur la joie dans l’effort, la valeur éducative du bon exemple, la responsabilité sociale et le respect des droits humains reconnus au plan international et des principes éthiques fondamentaux universels dans le cadre des attributions du Mouvement olympique.Le but de l’Olympisme est de
« mettre le sport au service du développement harmonieux de l’humanité en vue de promouvoir une société pacifique, soucieuse de préserver la dignité humaine. »
La plus jeune athlète olympique se rend à Paris avec un état d’esprit détendu, dans l’espoir de réaliser le rêve de nombreuses jeunes filles deux fois plus âgées qu’elle : remporter une médaille. Zheng Haohao, 11 ans, originaire de la province du Guangdong [Canton], dans le sud de la Chine, a commencé le skateboard à l’âge de sept ans sur recommandation d’un ami.
La jeune fille se spécialise dans le skateboard en bowl, une discipline qui consiste à creuser une zone avec une série de courbes complexes dans une arène spécialement aménagée pour la planche à roulettes. Lors des sélections préliminaires, elle a terminé à la 18ème place, 5 jours avant son 12e anniversaire.
Opposé au numéro 1 mondial, champion du monde en titre, en finale, le judoka Français Teddy Riner – onze titres mondiaux, catégorie plus de 100 kg – a fait parler son expérience contre un adversaire de onze ans son cadet. Après plus de trois minutes d’observation, il a enclenché un harai-goshi avec sa jambe droite pour envoyer son adversaire sur le dos et réussir un ippon d’or à seize secondes de la fin du temps réglementaire. Iponn : prise technique exécutée de manière parfaite, démontrant une maîtrise totale de l’adversaire et mettant immédiatement fin au combat par la victoire sur l’adversaire.
Léon Marchand, quatre médailles pour le toulousain de 22 ans, premier sportif français à décrocher quatre médailles d’or, de plus, dès sa première apparition aux JO ! Le prodige des bassins est bel et bien devenu le roi de la natation mondiale, s’emparant de quatre sacres olympiques, dont deux le même soir (400 m 4 nages, 200 m , 200 m brasse, 200m 4 nages).
Quentin Ramelet sur FranceTV l’a interviewé :
« … les sportifs avaient peur d’aller voir les préparateurs mentaux, parce que ça montrait une faiblesse mentale, je pense. Moi, je n’ai jamais eu cette peur, j’ai toujours voulu m’améliorer dans mon sport et avoir le sourire, surtout dans ma vie de tous les jours ».
Et ce sourire communicatif, tout le monde en redemande nous confirme Quentin Ramelet.
Avec quatre titres olympiques en quatre épreuves individuelles et une médaille de bronze en relais pour couronner son exploit de quatorze courses en une semaine, le nageur de 22 ans est indéniablement l’un des héros de ces Jeux à Paris.
Quelques courtes vidéos
Natation, Maesha Saadi,
l’amie d’école de lycée de notre petite-fille Joana
Les quatre athlètes des Comores, dont Maesha, sur le bateau mouche du défilé d’inauguration des délégations sur la Seine.
En série 2 du 50 m nage libre féminine, Maesha s’est classée 1ère de son groupe en 29,60·secondes battant ainsi son propre record.
Cependant, à·6 secondes derrière la championne du Monde, Sarah Sjöström, médaille d’Or 2024 (23,71·s), comme attendu, les épreuves des JO s’arrêtent là pour Maesha.
Le 50 m de Maesha
Vidéo 2 min
BMX freestyle
Qualifiés pour la finale où les Français raflent les trois médailles. BMX = Bike Motor Cross, autrement dit, à l’origine un jeu consistant à imiter les courses de gros cubes à moto avec des vélos à trois sous, par des jeunes désœuvrés des banlieues pauvres des grandes villes américaines.
Une épreuve particulièrement courte, tout de joue en une minute.
Ça passe ou ça casse !
Vidéo 1 minute.
Perche au firmament
Un saut de 6,25 m, expliqué en quatre phases (à cliquer)
Un saut en 5 phases :
- Prendre de la vitesse.
- Emmagasiner sa propre énergie cinétique dans le ressort qu’est la perche repliée en s’y crochant.
- Toujours bien accroché, se retourner à la verticale pendant la détente de la perche pour se laisser projeter vers le haut à la verticale, tête en bas, et abandonner le propulseur. (la vitesse ascensionnelle maximum théorique est alors la vitesse horizontale au moment du blocage de la perche).
- Une fois retourné, prendre appui sur la perche en fin de détente pour se donner une impulsion verticale supplémentaire vers le haut avant de la lâcher.
- S’enrouler adroitement au sommet de la trajectoire parabolique de son centre de gravité au-dessus de la barre sans la toucher.
Avec une vitesse horizontale du perchiste(*) v, de 10 m/s, dont l’énergie cinétique est transformée sans perte en travail ascensionnel contre la pesanteur, la hauteur H maximale peut s’écrire ½Mv2 = MgH (où g est la gravité terrestre et M la masse du sauteur), d’où H = v2/(2g).
Avec une vitesse de pointe au moment du planté de la perche de 10 m/s, la limite infranchissable en hauteur entre le départ du saut et le sommet est alors de 5,10 m ! Armand a pourtant sauté sauté à 6,25 m, qu’est ce qui ne va pas ? La centre de gravité su sauteur n’est pas au raz du sol mais déjà à environ 1m au début du saut, nous voila donc avec une ascension à 6,10 m du sol. La poussée musculaire supplémentaire des mains et bras, bien coordonnée en fin de détente de la perche, permet de gagner des cm additionnels.
Il semble alors que la limite physiologique absolue en hauteur tournerait autour de 6,60m
(*) Pour le moment, la vitesse de pointe enregistrée pour Armand Duplantis est de 10,3 m/s. Le calcul (toujours avec une perche parfaite, et un saut parfait) donne alors une hauteur de 6,41 m. Avec une vitesse de 10,5 m/s, la hauteur franchie passe à 6,62 m ! La suite en 2028 à Los Angeles. Source : The Conversation
À Teahupo’o, premiers titres olympiques du surf français
6 août 2024
Johanne Defay médaille de bronze
La Française domine la Costaricienne Brisa Hennessy et décroche le bronze. Interview de Johanne, avant les Jeux.
Vidéo interview 4 min 30 s.
Entraînement en février 2024 de la championne Johanne Defay avec Jojo à Teahupo’o (page externe YouTube) .
Kauli Vaast décroche l’Or
Kauli obtient l’Or en battant avec panache l’Australien Jack Robinson.
Vidéo Kauli en finale,
capture d’écran de 20 s.
Bonus : vidéo documentaire 11 min (page externe YouTube).
Comment Kauli s’est préparé à devenir champion olympique
Clôture d’une vision époustouflante de Paris
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Une scène du spectacle au Stade de France pendant la cérémonie de clôture des jeux olympiques
à Saint Denis, le 11 août 2024.
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Après la clôture de Paris 2024 et la transmission du drapeau olympique à la ville des anges,
le Los Angeles Times s’inquiète :
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« Finalement, de façon spectaculaire, cela s’est terminé, les Jeux Olympiques de Paris 2024 achevant leur dernier tour dimanche avec un enthousiasme incomparable, une joie débridée et un dernier regard sur la tour Eiffel glorieusement intimidante. Tout cela signifie une chose. Nous prenons la suite. Gloups ! Comment diable les Jeux olympiques de Los Angeles de 2028 pourront-ils surpasser ce dont le monde vient d’être témoin au cours d’une explosion de deux semaines de jubilations pittoresques du Champ-de-Mars au château de Versailles ? Comment pouvons-nous égaler l’émotion écrasante des fans qui hurlent et des athlètes en pleurs lors d’une fête parisienne à succès durant ces deux semaines de pur Hollywood ? » Source : Le Monde (article externe).
Une plate-forme majeure de diplomatie culturelle
Une observation de l’édition en cours de Paris 2024 permet d’analyser, dans cette nouvelle phase de « patrimoine innovant », une hyperculturalisation, affirmant le positionnement unique d’une culture française sans limites faite d’hybridation, de fusion de contenus culturels hétérogènes, familiers et étrangers, et de coappropriation.
Anne Gombault dans The conversation (page externe).
Compléments sur les JO
Un clic ouvre les titres :
1966 – Premier club de surf à Tahiti, notez la longueur des planches.
1968 – Mon collègue Varoquier, officier« transmission » à bord du Blavet, était amateur de surf. En 18 mois, nous sommes allés une seule fois sur le spot de Papara ; je faisais le photographe. Ce fut l’unique occasion de chevaucher sa planche pendant mon affectation en Polynésie !
1997 – Les habitants de Teahupo’o observaient les monstrueuses vagues se former devant chez eux chaque année, mais personne ne pensait alors à essayer de la surfer. Ce n’est qu’en 1997 que l’« ASP World Tour » décide de se rendre à Teahupo’o pour y organiser un concours de surf qui a été un désastre financier, car leur ferry a été projeté sur les récifs.
1998 – Le gouvernement tahitien a remboursé l’ASP pour qu’ils reviennent en 1998 organiser le « Gotcha Pro ». C’est l’année de construction l’ancienne tour en bois remplacée pour les JO de 2024.
2000 – Reconnaissance du spot de Teahupo’o par le légendaire champion de surf américain Laird Hamilton. Derrière son objectif, le Franco-Australien Tim McKenna qui l’accompagne l’immortalise dans un majestueux tunnel d’eau turquoise. Quelques semaines plus tard, ce cliché, développé une fois revenu en métropole, laisse apparaître la « millenium Wave » (vague du millénaire) et fait le tour des revues spécialisées.
2024 – Nouvelle tour en aluminium pour les JO Paris 2024.
Pas de chance…
Les deux Françaises, Johanne Defay, la Réunionnaise, et Vahine Fierro, la Polynésienne, se sont affrontées trop tôt, en huitième de finale jeudi 1er août. Vahine est battue et Johanne Defay s’envole pour décrocher le bronze. Elle nous confie :
« C’était difficile… Forcément, Vahine était la fille à battre. Cela fait trois jours qu’on habite ensemble, qu’on sait qu’on va être l’une contre l’autre… Ce n’est pas facile ce genre de moments. Je sais que ça va être difficile pour elle. Vu les conditions, j’ai décidé de faire des turn backside et ça a marché. Elle méritait de gagner tout autant que moi. (…) C’est compliqué à gérer ces émotions »
Le feu sacré,
Extrait vidéo de 8 min (dans une nouvelle fenêtre).
La compétition de surf des Jeux olympiques de Paris 2024 se déroule à Tahiti, en Polynésie française, là où tout a commencé. Le documentaire de France TV Polynésie raconte en 1 heure 15 minutes comment le surf, tradition polynésienne ancestrale combattue par les Occidentaux, s’est imposé comme une activité mondialement pratiquée. Objet d’émancipation à travers les époques, suivant les soubresauts de l’Histoire, et incarné par des personnages de légende, ce doc dresse une histoire politique et culturelle du surf. Le film complet de 90 minutes (nouvelle fenêtre).
Sa plus grosse vague
La Française Justine Dupont, amateur de très grosses vagues, surfe sa plus haute vague [21 m, un immeuble de 8 étages] à Nazaré au Portugal. Un spot [lieu propice au surf] où elle a failli laisser sa peau ! En mai 2014, nous l’avons trouvée bien tranquille, cette jolie plage où nous nous sommes prélassés.
Documentaire (2′ 30”) sur France TV : Justine Dupont surfe les plus grosses vagues au monde.
Sur Youtube, 8 min à Nazaré, Portugal,
Surf XXL par Red Bull
Teahupo’o, vu par « Red Bull » en 2023, en anglais, avec un accent australien à couper au couteau , lorsque des Australiens envahissent le spot de Teahupo’o !
(Vidéo de 9 minutes, dans une nouvelle fenêtre)
Des mercenaires tractés
Lorsqu’il y a de fortes houles, les mercenaires du surf convergent vers la barrière de corail de Teahupo’o pour se faire tracter sur les très grosses vagues. Bravant les interdictions et les conseils des meilleurs surfeurs locaux qui refusent de se mettre à l’eau, ils risquent leur vie, pour les marques qui les paient, afin d’alimenter leur publicité avec des images époustouflantes. C’est ainsi que ces vagues deviennent tueuses, : les spots de surf les plus dangereux du monde.
Une épreuve cycliste de folie composée de quatre courses distinctes, parfois imaginée comme un quadrathlon :
- Le « Scratch », Une course simple où le premier à franchir la ligne après une distance de 10 km pour les hommes et 7,5 km pour les femmes gagne, est le vainqueur.
- Les « sprints » : Les mêmes distances que le scratch, mais à partir du cinquième tour, des sprints à chaque tour pour gagner des points.
- Une « Course tempo » : Tous les deux tours, le dernier coureur à franchir la ligne est éliminé jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un seul coureur.
- Une « Course d’élimination » : Une course de 25 km pour les hommes et 20 km pour les femmes, avec des sprints tous les dix tours pour accumuler des points.
Chaque course demande des compétences et des stratégies différentes, ce qui rend l’Omnium particulièrement exigeant et passionnant à suivre.
Le Français Benjamin Thomas décroche l’Or et devient champion olympique de l’Omnium :
https://www.lequipe.fr/tv/replay/thomas-champion-olympique-de-l-omnium/20195133. dans une nouvelle fenêtre
JO de Paris 2024 : dans les transports, « c’est pas le Paris habituel »… car ça roule.
Source : Liberation dans une nouvelle fenêtre.
À la surprise générale, alors que les usagers du métro s’attendaient au pire, c’est la surprise générale. Fluide, ponctuel et agréable, le réseau s’en sort grâce à un large dispositif d’organisation qui a conquis touristes et supporters des Jeux.
Les Halles, 8 h 30, Quinn et ses parents, arrivés des États-Unis, s’extasient à la descente du RER B :
« So fantastic ! »
On croit d’abord à un malentendu. Fantastiques les JO, sans doute. Mais les transports ?
« Oui les transports ! On a atterri il y a deux heures à Charles de Gaulle et on est déjà là ! »
La ligne qui assure la liaison avec l’aéroport est pourtant l’une des plus redoutées par les Franciliens, pour ses retards et son affluence. Un réseau fluide et agréable pendant les JO, qui l’eut cru ? Loin des vingt minutes d’attente pour monter dans la rame, envisagées par Valérie Pécresse, et des métros congestionnés par les touristes, la réalité s’avère autrement différente, et bien moins apocalyptique que prévu.
Preuve sur le terrain : surprise à 8 heures, sur la ligne 9 en direction de Pont-de-Sèvres, qui dessert cinq sites d’épreuves, dont la place de la Concorde et le Stade tour Eiffel. Habituellement bondée en heure de pointe, la rame offre ce matin de nombreuses places libres, alors que les spectateurs commencent à arriver pour l’épreuve de beach-volley. Frédéric attend seul sur le quai, comme dans un décor :
« J’avais anticipé mes déplacements en fonction des lieux des épreuves et de l’affluence, mais finalement ça ne se passe pas trop mal ».
Même soulagement. …
Un été tout en fleurs
Un mois de juillet encore bien vert à Mornant
À Mornant, la nature reprend vite ses droits !
Un été bien vert dans le patio, mais en revenant de Bois d’Arcy les étourneaux s’étaient installés dans le cerisier et avaient mangé les cerises. Par contre, nos voisins ramasseurs de chanterelles, nous ont bien gâtés.
Le lézard des murailles (à cliquer)
À ne pas confondre !
Contrairement à son cousin le lézard vivipare, qui fréquente les zones humides et avec lequel il pourrait être confondu, le lézard des murailles (podarcis muralis) est attiré par les lieux secs et ensoleillés. C’est le roi du bain de soleil. Il affectionne les vieux murs des habitations, les zones de falaise ou de roche nue, où il peut passer jusqu’à 90 % de son temps à se chauffer. Il est long de 12 à 20 cm et de couleur variable, couvert d’écailles différentes dont les couleurs varient en général oscillant généralement du brun au gris, parfois au vert. La peau est constituée sur le dos par des écailles finement perlées. La femelle est caractérisée par des lignes blanches bien dessinées sur ses flancs.
Réveillé par un rayon de soleil
Dès les premiers redoux de février, les femelles s’exposent au soleil pour se chauffer et activer leur système reproducteur. Puis, les mâles s’activent à leur tour et s’empressent de chercher une partenaire pour s’accoupler.
Des œufs à la douzaine
Il y a chez cette espèce deux périodes de reproduction au cours desquelles les femelles pondent en moyenne 6 œufs qu’elles installent dans un trou ou sous une pierre bien exposée. Les jeunes lézards en sortent au bout de 6 à 11 semaines et se réfugient dans des lieux où il fait chaud comme dans un muret exposé au soleil, un tas de pierres ou de bois. Ils pourront vivre en moyenne de quatre à six ans.
Alimentation
Le lézard des murailles est un petit reptile très utile pour les jardiniers. Il est en effet Espèce au régime alimentaire varié, il s’accommode d’insectes divers, d’escargots et mange des fruits. Il peut être cannibale à l’occasion. C’est un précieux allié du jardin, car il éliminent de nombreux insectes comme les mouches, les criquets, les araignées ou encore les sauterelles le faisant considérer par certains jardiniers comme un pesticide naturel et gratuit.
Autotomie de la queue
Sa queue est longue et fine, mais parfois elle peut être courte, car il peut la perdre volontairement pour échapper à ses prédateurs comme les chats ou les oiseaux. Pour les fuir, il perd volontairement sa queue (autotomie), qui continue à se tortillonner pendant une bonne minute pour détourner l’attention du prédateur pendant qu’il s’échappe. Vidéo de queue abandonnée sur YouTube (page externe).
Alexia au Danemark
Chateau de Frederiksborg à Hillerod, Danemark. C’est à l’hôtel de ville de cette agglomération qu’a eu lieu le 7 juillet, un moment significatif et enrichissant pour Alexia.
Avec son équipe de Biocorp, elle a eu l’honneur de présenter « Mallya » à 390 participants des équipes de direction de Novo Nordisk, dont Biocorp fait désormais partie. Le moment clé de cet événement a sans aucun doute été la session de questions-réponses de 30 minutes qui a suivi la présentation animée par Fanny Sellier et Alexia Garin. L’équipe de direction de Biocorp a répondu avec enthousiasme aux questions de l’équipe danoise dans un échange constructif et dynamique.
L’équipe Novo Nordisk DDS est un groupe dynamique et international de plus de 400 professionnels hautement qualifiés. Ils travaillent en étroite collaboration pour développer des dispositifs médicaux de nouvelle génération. Leur objectif principal est d’améliorer les solutions pour les personnes atteintes de maladies chroniques et leurs professionnels de santé grâce à de nouvelles technologies. Ils se concentrent sur des projets de développement tels que les stylos d’injection, les solutions de connectivité, les auto-injecteurs et les application compagnons basées sur les dispositifs médicaux. L’environnement de travail est ouvert, collaboratif et inclusif, encourageant la curiosité et l’innovation.
« Mallya »
est un dispositif intelligent compatible Bluetooth pour les stylos injecteurs développé par Novo Nordisk pour le traitement du diabète. Il se fixe directement sur les stylos à insuline FlexTouch® de Novo Nordisk pour collecter les informations sur la dose et l’heure de chaque injection d’insuline et transfère ces données en temps réel à un logiciel compagnon.
Bistrot de Serine
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Pour l’anniversaire de Françoise, un joyeux repas Garin-Kirsch nous est offert par Daniel au 16 boulevard des Allées, 69420 Ampuis, Bistrot de Serine (04 74 48 65 10).
Cécile en randonnée dans les grès des Vosges du Nord.
Avec une de ses petite-filles et un arrière petit-fils. À fond la forme… !
Saint Gély du Fesc
Entre bons amis après une longue absence, cela fait grand plaisir de se retrouver. Vive la vie.
Estelle et Alexis au piano
Ils ont voulu jouer pour grand-mère qui elle aussi apprenait le piano avec grand-bonne-maman Gontier à la Croix-Rousse .
Vidéo de 3 minutes.
Bonus : Ariane 6
Une bonne nouvelle : mardi 9 juillet, Ariane 6, la nouvelle fusée européenne a pris son envol, depuis la base de Kourou, en Guyane française, à 15 h 01, heure locale (21 h 01 à Paris), « portant sur ses larges épaules les espoirs d’un continent », s’enthousiasme le média spécialisé Space. Le site américain juge « considérables » les enjeux de cette mission, survenant un an après le retrait d’Ariane 5, qui avait « laissé l’Europe incapable de lancer de gros satellites » de façon autonome.
Ce lancement a été très long à venir : le développement d’Ariane 6 a commencé fin 2014 et son lancement était initialement prévu pour 2020, mais le calendrier a été décalé en raison de problèmes techniques et de facteurs extérieurs, comme le Covid-19.
Source : ESA – Courrier international.
Vidéo de 3 min 40s.
Ariane 6, qui a déjà une trentaine de vols prévus, assurera un accès européen garanti et autonome à l’espace, à l’observation de la Terre, au développement technologique et aux possibilités commerciales que cela implique.
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Merci pour ces news !
Très belles photos… et un grand bravo aux 2 petits pianistes… très doués 👨💼👩💼
Merci Robert ! Beaucoup de soleil et de joie !