Janvier

2025

blason kirsch laillaing sur sinople lion d'argent
Un blason KIRSCH
Écartelé : de gueule et aigle d'argent; d'or et et fleur de lys d'azur; d'or à barre de gueule chargée d'une étoiles d'or;
d'or et croix de Lorraine d'azur à la bordure de gueule; sur le tout de sinople au lion d'argent;

Zénitude

Tout est spectacle pour le poète.

Le Rateau (3130 m), Pointe de l’Echelle (3420 m), Col d’Aussois (© RKM 2010)

Souvenirs d’hiver

2025 La jeunesse profite de Chamrousse.

 

Pour les anciens il reste les souvenirs.

1996 Aussois

 

2008 – 2025 Aussois

 

Escapade en Irlande

Avant la reprise des cours en ce début janvier, Floriane a rendu visite pour quelques jours son amie Lilou à Dublin où elle est en échange « Erasmus ».

Auto-entrepreneur

Pendant 6 mois, avant son dernier semestre d’étude, notre petit-fis Rémi de lance dans une expérience de travail en autonomie. …

Blason Kirsch

J’ai cré un blason familial par sa description héraldique. Un interpréteur génère automatiquement un blason à partir de la description suivante  :

Écartelé :
au 1 de gueule et aigle d’argent;
au 2 d’or et et fleur de lys d’azur;
au 3 d’or à barre de gueule chargée d’une étoiles d’or;
au 4 d’or et croix de Lorraine d’azur à la bordure de gueule;
sur le tout de sinople au lion d’argent;

L’héraldique, un langage de programmation ! 

blason kirsch laillaing sur sinople lion d'argentRemontant au haut moyen-âge, des règles très strictes de description des blasons se met en place à l’usage  des maisons nobiliaires, les dignitaires et les armées, pour se faire reconnaitre facilement. Pour désigner le style, l’organisation, les motifs et les couleurs, un vocabulaire qui lui est propre a été adopté. La ressemblance avec les règles d’écriture d’un langage de programmation est frappante.

La copie d’écran du générateur Heraldys montre la saisie de la description et le choix du style servant à dessiner l’écu. Les styles proposés vont du du 12e au 18e siècle.

blason copie d'écran heraldys (marques)

Le contenu de la description rappelle la saga Kirsch dans le le duché de Lorraine, le berceau de la lignée. On y trouve donc l’aigle des Habsbourg du Saint Empire Germanique à coté du Lys du roi de France Louis XIV, les deux puissances qui lorgnaient une occasion pour s’approprier le duché jusqu’à son rattachement final à la France en 1766. Sous le Lys la croix de la Lorraine convoitée couleur bleu de France, désormais encadrée.  En bas à gauche l’arrivée d’un nouvel apport sous forme de barre à l’étoile dorée sur fond rouge de la Chine. Au centre l’installation de cette branche Kirsch dans la campagne Lyonnaise.

 Vincent, saint patron des vignerons

Le village voisin de Saint-Laurent célèbre une fois par an, à la St Vincent, une messe dans la chapelle du 11e siècle dédiée à Saint Vincent. Cette chapelle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 17 août 1945, elle a été correctement restaurée ces dernières décennies. Paisible ou terrifiante le regard et le ciel en décident …

Les évêques du concile de Nicée en 325

17e centenaire

1 700 ANS

Le dimanche 19 janvier inaugurait la semaine de l’unité des Chrétiens. Il rappelait aussi qu’il y a 1 700 ans, en 325 à Nicée (aujourd’hui Iznik, en Bythinie, Turquie) se tenait le premier concile œcuménique de la chrétienté. Placé sous l’égide de l’empereur romain Constantin le Grand il a duré du 20 mai au 20 juillet 325.

Une homélie de 8 minutes par Céline Rohmer

Grand Temple de Lyon, dimanche 19 janvier 2025

La semaine de prière pour l’unité des chrétiens est ouverte !

Mais de quelle unité parlons-nous ? Quelle sorte d’unité les chrétiens peuvent-ils espérer ? S’agirait-il, comme le font les dirigeants, d’en appeler à l’unité d’un peuple ? S’agirait-il, comme des chefs d’armée, de reconquérir un territoire soi-disant perdu ?

Dans un monde en transition comme le nôtre, marqué par l’incertitude de son devenir, ils sont nombreux aujourd’hui à parler d’unité… On bombarde des pays, on envahit des états au nom de l’unité. On emprisonne et on expulse au nom de l’unité culturelle. On assassine et on viole au nom de l’unité ethnique. Ce sont bien des forces qu’on mobilise pour défendre l’unité de telle ou telle nation. Des tribunes politiques jusqu’aux stades de foot, lorsque, la main sur le cœur, on crie à l’unisson « tous ensemble ! », il s’agit toujours de rassembler contre des adversaires désignés. Cette unité conquérante, portée par la conviction d’avoir pour soi la vérité absolue et le sens de l’histoire, n’est en réalité qu’un repli identitaire nourri de la peur de l’autre. Cette unité-là ne rassemble pas en un même corps, elle nous démembre en différents camps irréconciliables.

Ce n’est pas une unité contre que nous célébrons ce matin, c’est une unité pour – une unité inconditionnellement hospitalière à dimension universelle.

Et la composition littéraire que l’évangéliste Jean imagine autour du personnage de Thomas peut nous aider à mieux comprendre. L’histoire commence par un loupé. Thomas a manqué la première apparition du Christ ressuscité. Il n’était pas là. Au commencement de la communauté des disciples du Christ, les Douze n’étaient pas douze. Pas même onze, puisque Judas manquait aussi à l’appel. Autrement dit, dès l’origine, l’Église est marquée du sceau de la déficience et de la désunion. La pureté originelle de l’unité des disciples n’existe pas, nous dit Jean. La foi chrétienne n’en est pas moins annoncée. Ce petit groupe ecclésial imparfait proclame avec force l’Évangile de Pâques et l’affirme d’une seule voix : « Nous avons vu le Seigneur ». Thomas est leur premier auditeur. Ses compagnons lui disent : Celui qui a été crucifié est vivant. La foi pascale est proclamée, mais elle n’est pas crue. Thomas le dissident refuse de s’en remettre à la parole proclamée par l’Église. Une confession de foi unanime ne suffit pas à convaincre.

Huit jours durant, Thomas va récuser leurs arguments. Et c’est l’Église prise en flagrant délit d’impuissance : l’Église ne peut pas convaincre, elle ne peut pas transmettre la foi. Elle ne peut pas, même unie, faire croire, tout simplement parce qu’elle ne détient pas ce croire. L’Église, nos Églises, ne sont pas des conditions nécessaires à la foi chrétienne parce que nous ne possédons pas ce que nous croyons. L’unité que nous célébrons ce matin ne peut donc pas être une démonstration de force ecclésiale. Ce n’est pas une Église conquérante que Jean nous raconte, c’est une Église qui, dans l’indifférence des uns et le rejet des autres, proclame sans relâche Celui en qui elle place sa confiance. Cette Église-là ne se préoccupe pas de bâtir un modèle d’unité, mais à être, dans ce monde, un lieu de fidélité au Dieu vivant. En proclamant sa foi sans relâche, l’assemblée des disciples ouvre à la présence de Dieu. Notre assemblée ce matin, dans la diversité de ses cultures et de ses confessions, n’a pas d’autre ambition que d’être une occasion donnée à d’autres de croire ce qu’on ne peut pas faire croire.

Thomas pose ses conditions : pour croire, il veut voir et toucher. Notez que Thomas ne refuse pas de croire, il veut croire à sa manière, que son croire au Dieu Vivant soit validé selon les critères du monde. Et Jean de nous mettre en garde : ce n’est pas tant le refus de croire qui nous menace, c’est notre prétention à vouloir imposer à Dieu nos conditions. Or, nous dit Jean, croire sous condition, c’est toujours ne pas croire, c’est se soumettre au monde et aux idoles qu’il se fabrique. Croire sous condition, c’est refuser le don venu d’ailleurs, la parole qui vient à nous et qui n’est pas de nous.

Ce jour-là, Thomas devient un homme de foi. Il voit et il croit. Sans rien toucher, l’existence de Thomas s’ouvre à la transcendance qui se manifeste à lui. Renversé intérieurement, il fait l’expérience, dans sa vie, de la présence de Dieu Vivant : ce ne sont pas les témoignages que nous rendons à Dieu qui font vivre, c’est Dieu lui-même. Thomas le sait désormais pour l’avoir expérimenté en lui : il reconnait son Seigneur et son Dieu. À travers Jésus, Thomas reconnaît le Père. Fils et Père en communion, l’unité du Père et du Fils s’offre au disciple.

L’unité des disciples d’hier et d’aujourd’hui procède du Dieu qui nous est révélé par le Fils, et de sa volonté de nous rendre participants de la vie qu’Il est. L’unité que nous avons à vivre ne tient pas son origine du monde. Elle nous est donnée de l’unité du Père et du Fils, de leur communion parfaite, de cet amour du Père pour le Fils et du Fils pour ses disciples – c’est en aimant de cet amour-là, en vivant de cette communion-là que nous témoignerons ensemble de la présence du Dieu Vivant.

Frères et sœurs, l’unité que nous célébrons ce matin, nous n’avons pas à la construire mais à l’accueillir. Dieu, source de cette unité, s’approche de chacune et de chacun de nous – librement, gracieusement, directement – les portes que nos religions s’évertuent à verrouiller, il les traverse. Lui le premier, s’avance vers nous, il s’engage dans sa Création et en s’engageant, Il nous engage. En communion avec Lui, nous recevrons en don de quoi nourrir nos efforts de dialogues, de rencontres et de reconnaissances mutuelles – donnant à voir la communauté que Dieu appelle à Lui – une communauté nécessairement non identifiable, non limitée, hospitalière, plurielle et universelle, à la taille de l’humanité que Dieu est lui-même venu aimer jusqu’à en mourir.

Frères et sœurs, la semaine de prière pour l’unité des chrétiens est ouverte, réjouissons-nous de l’unité donnée d’en haut, et qu’à la suite de Thomas, nous devenions des hommes et des femmes de foi en proclamant sans relâche, dans ce monde de mort, la présence du Dieu Vivant !

Amen

Céline Rohmer

Le Credo

concile nicaePremier mot de la version latine de la profession de foi chrétienne : Credo in unum Deum. L’empereur romain Constantin a pesé de toute son autorité sur l’adoption de ce texte par tous les représentant des Églises, allant jusqu’à menacer les évêques réticents à signer la version finale, de les déposer (déchoir de leur charge d’évêque) et de les exiler ! (voir : Le Jour du Seigneur – Matinée œcuménique avec les chrétiens de Lyon : «·1700 ans du Credo·» nouvelle fenêtre YouTube)

Le texte montré sur l’icône est une partie du « Symbole de Nicée-Constantinople » dans sa forme liturgique grecque, basée sur le texte adopté au premier concile de Constantinople en 381, c’est à dire 56 ans après le Concile de Nicée. C’est ce texte modifié qui a fourni le Credo tel que nous le récitons encore aujourd’hui dans sa traduction française.

 

ἡ σύνοδος των αγ. πατέρων

[1] Πιστεύω εἰς ἕνα Θ[εό]ν, πατέρα παντοκράτορα, ποιητὴν οὐρανοῦ κ[αὶ] γῆς,
[2] ὁρατῶν τε πάντων κ[αὶ] ἀοράτων. κ[αὶ] εἰς ἕνα κ[ύριο]ν ιησοῦν χ[ριστό]ν, τὸν ὐἱὸν
[3] τοῦ Θ[εο]ῦ τὸν μονογενῆ, τὸν ἐκ τοῦ πατρὸς γεννηθέντα πρὸ πάντων τῶν αἰώνων·
[4] φῶς ἐκ φωτός, Θεὸν ἀληθινὸν ἐκ Θεοῦ ἀληθινοῦ, γεννηθέντα, οὐ
[5] ποιηθέντα, ὁμοούσιον τῷ π[α]τρί, δι οὗ τὰ πάντα ἐγένετο. Τὸν δι ἡμᾶς τοὺς
[6] ἀνθρώπους κ[αὶ] διὰ τὴν ἡμετέραν σωτηρίαν κατελθόντα ἐκ τῶν οὐρανῶν
[7] κ[αὶ] σαρκωθέντα ἐκ πνεύματος Ἁγίου κ[αὶ] μαρίας τῆς παρθένου κ[αὶ] ἐνανθρω
[8] πήσαντα. σταυρωθέντα τε ὑπὲρ ἡμῶν ἐπὶ ποντίου πιλάτου.
[9] καὶ παθόντα, καὶ ταφέντα.

Ce dimanche 19 janvier a eu lieu également  le lancement officiel de l’équipe de révision de la TOB. La Bible connue sous ce nom « Traduction Œcuménique de la Bible » a vu le jour dans les années 1960. Dans un élan partagé, des chercheurs protestants et catholiques se sont réunis dans le but de proposer une traduction commune. Ces pionniers, portés par une conviction profonde, voulaient en effet « qu’une même exigence de vérité dans l’amour inspire, dans les différentes confessions, fidèles et pasteurs chargés de porter dans l’Église et dans le monde l’Évangile du Christ ».  https://www.infochretienne.com/articles/la-bible-tob-va-faire-peau-neuve/

Aujourd’hui, une révision en profondeur est indispensable pour donner à la future version une meilleure cohérence d’ensemble en tenant compte des évolutions du langage et en intégrant les avancées de la recherche biblique. Utilisera-t-elle aussi un vocabulaire contemporain proche de la version « Segond 21 » de l’Alliance biblique universelle publiée en 2007·?

Depuis, l’édition de 2010, intègre l’apport des Orthodoxes : six livres tirés de la liturgie des principales Églises orthodoxes, les 3e et 4e Livres d’Esdras, les 3e et 4e Livres des Maccabées, la Prière de Manassé et le Psaume 151. La Novelle traduction nécessitera cinq ans de travail et paraitra probablement en 2030.

En attendant, je continuerai à utiliser l’intégrale en deux volumes de la TOB de 1972 dont j’apprécie les très nombreuses notes détaillées. 

250e anniversaire

La révolution américaine

Il y a 50 ans (1975-1976), pour le 200e anniversaire de la Déclaration d’Indépendance américaine, nous habitions dans le New Jersey où est née notre deuxième fille.

celebrate 200e anniv revolution americaine

La révolution américaine a débuté il y a 250 ans. Les États-Unis célébreront le 250e anniversaire de la Déclaration d’Indépendance du 4 juillet 1776 en 2026. Ce sera le point d’orgue de cet épisode historique, fondateur de la Fédération.

À la suite de la guerre d’indépendance, treize colonies britanniques d’Amérique du Nord ont obtenu leur liberté et sont devenues les États-Unis d’Amérique. La guerre a commencé à Lexington, dans le Massachusetts, le 19 avril 1775 et s’est officiellement terminée le 3 septembre 1783 lorsque la Grande-Bretagne a reconnu la nouvelle république dans le traité de Paris.

Le projet « AMERICA 2026 »

À cette occasion le projet français AMERICA 2026 vise à étudier l’impact de la révolution américaine sur les sociétés européennes et leurs colonies entre les années 1770 et 1800. Ce projet cherche à offrir une perspective comparative des histoires américaine, française et européenne. Il prévoit une collaboration étroite entre chercheurs en France, en Europe et en Amérique, et la mise à disposition de nombreuses sources européennes et coloniales. AMERICA 2026 souhaite contribuer aux débats et productions culturelles et scientifiques liés aux commémorations, et devenir une référence scientifique en France et en Europe sur la révolution américaine et son héritage.

Voir : https://anr.fr/Projet-ANR-23-CE27-0018

Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques entraient à Auschwitz-Birkenau, libérant les survivants du camp Nazi.

27 janvier 2025

Commémorations dans le monde du 80e anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau

logo 80 ans liberationCe 27 janvier 2025, le monde commémore le quatre-vingtième anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau et, incidemment, le vingtième anniversaire de la décision de l’Assemblée générale de l’ONU de faire officiellement de cette date la Journée internationale à la mémoire des victimes de l’Holocauste.

Lire l’évocation de la libération du camp par le préfet de l’Oise.
(site externe dans une nouvelle fenêtre)

Entre 1940 et 1945, environ 1,1 million de personnes, dont 1 million de Juifs, ont été assassinées à Auschwitz-Birkenau. 

Je vous rappelle qu’en octobre dernier j’ai revisité le camps de concentration Nazi du Struthof situé en France sur les hauteurs des Vosges.

Si vous l’avez loupé, c’est ici :
1944 natzviller camp ancien bandeau 2

International

musk par barry blitt the new yorker

C’est qui le patron ?

En ce mois de janvier Donald Trump a repris la main. Une oligarchie de la tech à la « puissance décuplée, inégalée » arrive au pouvoir, une alliance entre Donald Trump et les géants de la tech, en particulier Elon Musk, qui marque une révolution idéologique et une nouvelle forme d’oligarchie. Nicole Gnesotto, historienne, souligne que cette alliance représente un pouvoir inédit de manipulation et une volonté de démanteler les lois et contraintes institutionnelles. Elon Musk, ayant largement financé la campagne de Trump, a été nommé ministre de « l’Efficacité gouvernementale ».

L’historienne décrit cette situation comme une révolution conservatrice et capitaliste, avec une dimension destructrice visant à éliminer les lois qui empêchent cette nouvelle oligarchie de faire ce qu’elle veut. Elle compare cette situation à une forme de totalitarisme, où la manipulation de la liberté de pensée par les géants de la tech confère une puissance inégalée.

Il faut mentionner que Trump ne cherche pas à instaurer une dictature traditionnelle, mais plutôt à contourner la Constitution américaine avec le soutien du Congrès, de la presse et de l’opinion publique. Cette nouvelle ère politique et économique pourrait avoir des implications profondes pour la démocratie et les relations internationales, marquant la fin du système démocratique libéral établi après 1945.

Source : https://www.telerama.fr/debats-reportages/avec-donald-trump-une-oligarchie-de-la-tech-a-la-puissance-decuplee-inegalee-arrive-au-pouvoir-7024028.php

X, Facebook et Instagram menacent nos écosystèmes d’information : quelles alternatives ?

 
En termes d’effort, de temps investi, de nombres de destinataires touchés et de classement (rank attribué par l’algorithme de classement de Google), il est désormais plus rentable de produire une information dupliquée et non vérifiée qu’une information originale. Voilà pourquoi nous sommes noyés par des informations de piètre qualité (infobésité), parmi lesquelles nous avons grand peine à distinguer le vrai du faux (fake news). Les algorithmes de recommandation plébiscitent les contenus les plus sensationnels et les moins qualitatifs.
 

Vidéo du CNRS

Si la physique des particules vous intéresse, voici ce que l’on sait, et ne sait pas, sur le proton, un des constituants les plus abondants de la matière dans l’univers et de toute matière vivante en particulier.

  • Publication publiée :10 janvier 2025
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